La particularité de l’échange d’hier soir est qu’il y a, cette fois,
deux perdants.
Marine le Pen, qui a prouvé qu’elle n’a pas progressé d’un millimètre
en cinq ans et qu’elle est toujours d’extrême-droite, malgré ses chats
et qui a passé son temps à se justifier au lieu de mettre le "clone"
devant les scandales de son quinquennat... (Alstom, Mac Kinsey etc...)
et il y avait matière à le déstabiliser !
Et le "clone" dont le mépris, la condescendance et les mensonges auront
énervé plus d'un électeur.
Ceux qui hésitaient encore entre l'un et l'autre seront tentés de rester
chez eux, tant la morgue affichée rappelle trop les mauvaises heures
du quinquennat.