Bruno Le Maire écrit sur l’anus,
et personne n’était prêt pour ça.
Le dernier roman de Bruno Le Maire, "Fugue américaine",
sorti ce jeudi 27avril, ne manque pas de surprendre
plusieurs de ses lecteurs.
Dans cette fiction, son cinquième livre publié en quatre ans,
le ministre de l’Économie romance le destin hors du commun
de Vladimir Horowitz, un des pianistes les plus illustres de
son temps, mêlé à la vie d’une famille exilée d’Europe
centrale. Jusqu’ici, rien de très affriolant.
C’est alors qu’entre en scène Oskar Wertheimer, le cadet
de la famille. Bruno Le Maire lui fait conter, à la première
personne, ses ébats avec une certaine Julia : « Il lui arrivait
de soulever son t-shirt gris pâle pour exhiber ses seins.
“Tu as vu comme ils sont gros aujourd’hui ? Tu as vu, Oskar ?”
Elle le retirait totalement, dévoilant dans le creux de ses
aisselles des petits points rouges comme des piqûres de
moustique. Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ;
elle me montrait le renflement brun de son anus :
“Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais.” »
Qui aurait pu lire ÇA d'un ministre en poste avant ?
Encore une histoire de trou de balles... décidément,
ce gouvernement en est friand jusqu'à l'écœurement !