Le site où se trouvaient ces menhirs, pour certains vieux
de 7000 ans selon Christian Obeltz, habitant de la
commune et chercheur sur les populations néolithiques,
figurait sur la liste indicative de l’Unesco et était référencé
comme un lieu de patrimoine à préserver. Pourtant, la
mairie de la ville a octroyé un permis de construire sur ce
site en août 2022, provoquant la colère des habitant·es et
de plusieurs associations. Toujours selon Christian Obeltz,
cette autorisation est illégale et “toute destruction d’un site
archéologique est passible d’une lourde amende”.
Le maire de la ville, Olivier Lepick, a lui assuré à
Ouest-France qu’il ne savait pas que les menhirs étaient
localisés sur cette zone lorsqu’il a accordé le permis.